Vendredi 6 juillet 2007 à 23:07


On l'a voulu,
on l'a eut.
Elle nous a protégé
du vent, de la pluie, du soleil.
La nuit elle nous couvrait de son toit
pour ne pas avoir froid.
Puis le sort s'acharne parfois
sur le peuple laborieux.
Tout ne se passe pas au mieux.
Les difficultés s'accumulent,
le chômage fait barrage aux émules.
La décision de s'en séparer est prise.
À regrets, pas comme avant la crise,
pour les locations, c'était différent.
On a pas le même sentiment
de propriété, ça fait moins mal.
Quand on s'en va c'est banal.
Mais là on a tout donné pour l'acquérir
et malgré la lutte, le sort nous fait faillir.
La vente est ordonnée,
les papiers sont signés.
Elle a plu malgré sont âge
et a trouvé d'autres sages
qui sauront je l'espère la faire revivre
et je sais qu'elle prendra soin d'eux,
comme elle l'a fait pour nous et eux.
On la quitte pour un appartement à vivre.
C'est vrai, on a pas tout perdu.
C'est avec tristesse qu'on quittera ces lieux.

Une maison a t'elle une âme?

Jeudi 5 juillet 2007 à 21:05


Çà souffle, encore et toujours plus fort.

Ce vent qui pénètre partout,
pousse tout à la mer.
Même les galinettes en jupettes se font surprendre
par une envolée soudaine mettant à mal
leur pudeur, ou leurs dessous affriolants.
Mal à la tête il donne, subit toute la journée.
Les volets battent sur les murs
Les feuilles des arbres s'arrachent,
et il casse leurs branches.

Le feu envahit les forêts poussé par ses rafales violentes
bientôt le repos,
mais quand?

Seul LUI le décidera .

et j'entends dans les champs....





Lundi 25 juin 2007 à 18:28

Un petit garçon demande à sa mère:"pourquoi pleures-tu?"
"Parce que je suis une femme" lui répond -elle!
"Je ne comprends pas", dit-il.
Elle l'étreint, et lui dit: "Et jamais tu ne réussiras"
Finalement, il demanda à Dieu:
"Pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement?"
Dieu lui répondit:
"J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde, et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, même quand ces derniers l'ont blessé durement.
Je lui ai donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais teste quelquefois sa force et sa détermination de demeurer à ses cotés.
Et finalement, je lui ai donné une larme à verser.
Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle le juge bon.
C'est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur.
La beauté d'une femme n'est pas que dans les vêtements qu'elle porte, ni dans le visage qu'elle montre ou dans la façon de se peigner les cheveux.
La beauté d'une femme doit être dans ses yeux,
parce que c'est la porte d'entrée de son cœur,
la place où l'amour réside."




Dimanche 17 juin 2007 à 17:36


Il est parfois ce doute,
ce fait que...,
rien ne parait aller.
Pourtant, on se bat contre les éléments
pour vaincre, malgré tout on est battu.
Rein ni fait, même la volonté,
l'espoir de..., rien ne va.

Par dessus tout on lutte,
mais çà nous rattrape,
et plus moyen de s'en dépêtrer!
Même la bonne humeur en prend un coup.

Toute la vie, est faite de hauts et de bas.
Mais quand les bas prennent le dessus
sur les hauts, comment faire?

Le positif envahit le négatif,
et la pensée se noircie.
Non Maman, non Bon Papa,
ne m'appelaient pas,
je ne veux pas vous rejoindre,
pas maintenant.
Elle a encore un peu besoin de moi,
je suis bien ici bas,
même avec les rudesses de la vie,
je ne veux la quitter!

Votre pensée m'inonde
comme les larmes de mes yeux!
Je suis en bout de  carrière,
et j'ai ce sentiment d'inachevé,
d'avoir manqué un passage!

Celui de la réussite.

L'avenir appartient aux carriéristes
dont je n'ai jamais voulu faire partie
Les trains de vie faramineux, aux affairistes,
dont je n'ai pas pu faire parti.

Mes mains m'ont permis de survivre,
mais les temps modernes ne le permettent plus.
Ou moins.
Les travaux manuels ne sont plus reconnus
comme ils le furent voilà plusieurs décennies!
La survie est notre quotidien à nous les petits!

Et malgré tout,
les larmes aux yeux,

on sourie !

Vendredi 8 juin 2007 à 19:19


Si on a rien d'autre à penser,
on y pense trop!
Si on a une autre occupation majeure,
on y pense moins!
Si on a la gratte çà démange!
Si on se gratte trop, çà revient au galop!
Si on fait confiance trop tôt,
souvent on tombe de haut!
Si on commence pas,
on est pas embêter avec.
Si le mal de cœur vous prend,
saouler vous et çà passera!

L'AMOUR
c'est comme une cigarette çà se consume!
Trop vite entamé plus vite consommé!

Il est fourbe,
rend sourd aveugle et hargneux.

À vos âmes tendres



Jeudi 7 juin 2007 à 22:22




Mardi 5 juin 2007 à 0:48


Qui n'a pas de peine à se voir dériver?
Le cœur plein de larmes,
les yeux qui coulent.
Savoir que la barre ne se redressera plus,
que çà tourne en rond!
La route est à jamais barrée
par cette ignorance de l'autre,
que peut on y faire?
Rien ne sera plus jamais comme avant.
Et on s'enfonce dans l'abime de l'ignorance,
on s'éloigne l'un de l'autre
pourtant si soudé,
à jamais désoudé

ainsi va la vie!
 

Triste Fin .

Clap!


Vendredi 1er juin 2007 à 22:32

J'ai fait un article pour ...,
je l'ai effacé pourquoi je sais plus.
Puis j'ai pas l'envie de recommencer
alors je sais plus.
Je me contente de penser.
Pourquoi penser?
Si je pouvais la commander cette pensée!
Je la prierais de me quitter,
mais elle est là sournoise elle me guette.
Dés qu'elle a un creux elle passe
au dessus du reste, quand elle le domine pas.
Toujours une pensée par-ci ou une autre par-là,
et on en sort pas des ces pensées bonnes ou mauvaises.
Les yeux rougis par le sang de la fatigue qui monte aprés
cette nuit de galère et le peu de sommeil,
elle est là, toujours là cette putain de pensée.
Même captivé par le travail, elle l'écarte et s'installe
pour mieux se faire voir et entendre.
Purée pourquoi toujours
penser à ses pensées?

si je pouvais dire..
je m'en rappelle plus

Lundi 28 mai 2007 à 23:34


Son cœur flétri,

son âme s'envole.
Loin de toi il ne saurait être.
Dans la pénombre tu l'éblouis,
la pensée l'inonde.
Il ferme les yeux,
et s'endort dans le ciel
de tes yeux langoureux.
Tes lèvres le portent
dans le sommeil éternel
d'un amour impossible
brutal et sauvage.
La vie vous fuit,
La vie si jolie.

Dimanche 27 mai 2007 à 11:21


Les yeux fixes, exorbités

regardant au loin l'horizon
la main sur le couteau
que tu lui as planté dans le cœur !
Se vidant de son sang
sur le sable maculé
tombe en lambeau
de son trop plein d'amour.
Les lèvres pulpeuses de ta bouche,
effleurent son corps meurtri,
vieilli par le temps,
flétri par le vide.
Espérant le faire revenir
à la vie que tu lui as ôté.
Ton regard croise le sien
et se fond dans son âme
qui t'emmène avec lui.
À jamais réuni, main dans la main,
serré tout contre lui,
de peur de rester seule
sans l'amour de ta vie
tu lui rends son  amour,
et tu repars avec lui
pour la vie.


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