Mardi 9 janvier 2007 à 1:00

Minuit l'heure du crime

est passé, le jour fatidique aussi.

Aujourd'hui sera un autre jour parmi t'en d'autres à venir.

Que dire, que faire?

il est 1h 00

je vais au plume !

Aller bonne Nuit,

et bonne journée!

Dimanche 7 janvier 2007 à 22:49

I M M A C U L E

Toujours, on l'a plagie,

elle sort son âme,

vide son coeur, 

avec ses belles photos

aux textes décoiffants et déchirants,

on lui vole son talent.

Tu es une petite madone,

ne nous prive pas, la grande majorité,

pour une minorité infime de plagiaires,

sans personnalités.

Dimanche 7 janvier 2007 à 21:30

Le 8 Janvier,

est le jour de l'année

où est constaté

le plus grand nombre de suicides.

Encore un cap à passé !

en cause,

lendemain de fête,

hantise de la reprise,

et refus d'affronter

à nouveau les problèmes récurrents.

Drôle de statistique!

Dimanche 7 janvier 2007 à 19:01

Quand j'étais petit,

Noël était un évènement,

on se contentait de peu

la fête comptait plus que le reste.

Point de cadeaux somptueux,

juste quelques petits joujoux,

un orange,un brioche en forme de bonhomme,

et un paquet de bonbons.

Beaucoup de petits jeux,

et on se contentait de peu,

un paquet de belles agates,

et nos yeux brillaient de mille feux!

mon premier train électrique,

et mon circuit de voiture,

je les ai eu bien plus tard,

à l'adolescence.

Aujourd'hui on croule sous

des liquidités,

ou divers objets électroniques,

voir informatiques,

plus ou moins utiles,

et le sentiment de joie n'y est plus.

Comme bien des évènements,

Noël perd de son charme et de sa tendresse.

et c'est bien dommage.

Samedi 6 janvier 2007 à 19:35

J'ai traversé la France assis sur un tabouret,

installé à l'arrière de la traction 11b de mon père.

On était chargé comme des mules,

la grosse malle en bois sanglée sur la galerie,

une autre valise sur le coffre,

 et celui ci plein à ras bord.

Il y avait père, mère, grand-père, grand-mère,

mes deux soeurs et moi.

A l'époque, c'était une épopée,

un tel voyage!

LILLE, MONT- de - MARSAN !

Une bagatelle, il a fallu une longue préparation,

et le père était réticent pour un tel parcours.

il n'y avait l'autoroute que jusqu'à paris,

aprés c'était la nationale. 

Je ne me rapelle plus combien de temps çà a duré,

mais on a souffert !

Le pire est qu'il fallait remonter deux semaine plus tard!

Et qui plus est, mon père fumait la pipe!

Je ne vous dit pas l'horreur!

Et on est encore là malgré tout!

Comme quoi, on a pas encore était assez empoisonné. 

Ou alors on a la santé!

Samedi 6 janvier 2007 à 0:00

Trois soirs de suite

que je vise le

00.00

pourquoi faire?

Dieu seul le sait!

et encore même pas sur!

Vendredi 5 janvier 2007 à 22:22

On l'attendait tous!

elle est arrivée un beau jour de 1955 par surprise.

Un petit cube, enfin petit façon de parler,

elle était assez mastoc,

malgré sa petite taille!

IL n'y avait pas de problèmes,

ni de disputes pour les programmes.

seule Une chaine existait,

c'était l'ORTF, et en noir et blanc.

Mais on était ravi de regarder en famille

notre première télévision!

Vendredi 5 janvier 2007 à 15:37

Un grand merci pour ta patience, pour ta sagesse et tes conseils.

Tu sauras que je suis.

Vendredi 5 janvier 2007 à 13:38

Pourquoi mes lacets ne sont jamais lacés,

et je me lasse de les lacer,

parcequ'ils se délacent sans arrêt,

et de les relacer me lasse.

Alors mes lacets délaissés s'enlassent

autour de mes pieds lassés d'être enlassés

par des lacets délaissés!

Voilà bien longtemps, que mes lacets

jamais lacés, ne servent plus

à lacer mes souliers!

Alors pourquoi laisser des lacets non lacés?

BEN !

Pour remplir les trous de mes souliers.

Vendredi 5 janvier 2007 à 0:29

Va chercher du charbon, le poële va s'arrèter!

Me demandait maman en tricotant ou repassant.

Je prenais cette grande charbonnière

en zinc colorée, et descendais les escaliers

quatre à quatre, de peur de rencontrer

je ne sais qui, je ne sais quoi.

en raclant le sol de la cave , je la remplissais,

et aussi lourde et haute que moi,

je m'empressais de remonter, trébuchant tant et plus,

et cognant cet engin sur le marches.

Seul le poële chauffait ce grand appartement.

Autant dire que l'on passait son temps autour.

Dans nos chambres, point de chauffage,

le chauffage central n'existait pas encore.

Les pièces étaient froides et humides.

Et quand le grand froid arrivait,

la température tombait allègrement sous les -15 -17,

(on faisait du patin à glace sur la rue devant )

la buée givrait sur les carreaux, 

et la mosaïque de glace sur les vitres,

me faisait rêvasser à toutes sortes

de motifs plus ou moins fantasques.

Que j'appréciais les couvertures

sous lesquelles je me glissais,

pour n'en sortir qu'au petit matin,

transit de froid .

Vite je courais auprés du poële à charbon

réchauffer mon petit être.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast