Mercredi 18 avril 2007 à 0:01


J'ai arrété ma décision,
au premier tour
je voterais
 
Frédérix Nihous



en plus c'est un ch'ti !

enfin je crois!
y a de grandes chances!

Mardi 17 avril 2007 à 23:40


Ils ne sont pas que des phallus!
ILs ont aussi des sentiments!
Un peu de tendresse bordel
Pourquoi tout brusquer?
Faut'il coucher dés les premières rencontres?
Il ne faut pas mélanger amour et baise!
Si c'est sexuel, il n'y a pas de sentiments
que du sport de passage.
Les garçons sont aussi sensibles,
ne croyait pas que le regret de n'avoir pas
assouvis sa compagne,
ou rivalisé avec un autre,
ne laisse pas de traces psychologique,
il se sent diminuer
et la réalité de l'échec,
est difficile à avaler
il n'est pas qu'un champion
de sexe dans un champ d'ovaires!

merdeuuuuu!


Mardi 17 avril 2007 à 19:45

Une petite fille arrive affolée devant sa mère...


[ La fille ] :  Maman maman !! Papa veut me faire mal !

[ La mère ] : Mais qu'est ce que tu racontes ma chérie ?

[ La fille ] : Papa veut me faire mal maman, le laisse pas m'approcher !

[ La mère ] : Ma puce, ton père t'aime, jamais il ne te ferais du mal.

[ La fille ] : Maman je t'en pris.. Le laisse pas avec moi.

[ La mère ] : Arrête de dire des bêtises ! ça suffit maintenant ! Va dans ta chambre
et n'en ressort pas !

[ La fille ] : Mais maman ..

[ La mère ] : Il n'y a pas de mais qui tienne, va dans ta chambre et vite !


2 mois plus tard, la mère enterrait sa fille morte des suites des sévices de son père...
Ce corps si pure, si frêle, si innocent, cet enfant qui ne demandait qu'à vivre,
ce petit être est mort. Maintenant, il est dans une boîte dont il ne ressortira plus...
Mais peut être qu'un jour, nous le croiserons au paradis...


Maman maman, pourquoi tu ne m'as pas cru ?
Maman maman, pourquoi tu ne m'as pas protégé ?
Maman maman, pourquoi tu m'as laissé ?
Maman maman, pourquoi tu m'as abandonné ?
Maman maman, pourquoi tu m'as tué ?
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'il faut nous mettre à l'écard.
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'il ne faut pas nous croire.
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'on ment tout le temps.
Ce n'est pas parce qu'on est jeune qu'on est résistant.

~~missbutterfly59~~

Mardi 17 avril 2007 à 0:22

Qui n'a pas en lui, ou en elle,
tout au fond,
un souvenir,
une personne,
un être cher qui revient,
fréquemment tambouriner,
comme pour se rappeler à nous !
Malgré le temps,
la présence de l'absence
se fait sentir!
Un voile passe, une larme glisse
et s'efface comme par magie,
essuyée par on ne sait quoi ou qui.
Et on pense à nos jeunes,
puis à nos vieux,
ont-ils connu les mêmes angoisses
de la vie?
Le temps reprend son court
jusqu'à la prochaine pensée
qui surmontera le quotidien,
et refera glisser une émotion visible!

la vie malgré l'âge,
est un éternel recommencement!


Lundi 16 avril 2007 à 19:08


*CACA-PROUT*

*BITE*

*COUILLE *

*SEIN*
 
*ANUS
*

purée çà défoule
qu'on se le dise!

Dimanche 15 avril 2007 à 23:00


Demain c'est le boulot!
Comme les vacances scolaires débutent ici,
la semaine sera courte,
mercredi rideau!
Enfin j'espère,
il y a toujours du taf quand je veux  me barrer!
Reprise le 2 Mai !
Çà va faire du bien à mes vieux os!
Quoique, j'ai du boulot à la maison,
comme la chef est en Corse
 pour une semaine va falloir bosser!
Sinon gare au retour !
Et oui c'est comme çà les hommes battus!

Aille Ouille!

je le dirais pu !

Dimanche 15 avril 2007 à 19:02




Article

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Samedi 14 avril 2007 à 11:45


J'aime pas
les assistantes sociales, les psychiatres,
les gens d'associations, les policiers,
des personnes censées représenter
la loi et la paix,
s'occuper de cas sociaux
et soigner des malades.
Oui, surtout ceux
 qui fouillent dans la vie des gens
pour remuer la Merde!

À en croire encore des résultats
d'enquêtes judiciaires,
de plaintes prisent
pour argent comptant,
des gardes à vues
des réquisitoires accusateurs.
Sans présomption d'innocence.
2 ans de prison pour un délire !

Qui mettent des parents en prison,
ruinent la vie de familles,
tout çà pour assouvir le besoin
d'enorgueillir leurs corporations.
Qui sans ces affaires,
seraient moins reconnues
d'utilité publique.
Si l'on peut dire ainsi !

Les autres aussi, qui,
par leur obstination, à rechercher
toutes sortes d'excuses,
à tels ou tels délinquants,
font que notre société,
est envahie de malfrats,
de violeurs et d'assassins.
Plus de respect, de valeur!

Ghofrane (*)à Marseille, lapidée
trente impacts sur la tête,
dix sept dents cassées,
jusqu'où la barbarie va t'elle?
son meurtrier n'a que
15 ans au moment des faits!

Encore une disparue retrouvée morte,
pour un petit bout de plastique,
sa carte bleue.
Sophie,
On dira que ton tueur est un malade mental!
irresponsable de ta mort!
Pourtant déjà connu et récidiviste.

Ce policier poussé sur le manège de la foire du Trône
un père de famille qui laisse femme et enfants
pareil l'assassin présumé, 15 ans!

Paix à vos âmes,
Et vos familles sont à jamais dans la douleur!

Merci à vous les défenseurs
de détraqués, de faire votre possible,
afin qu'il puissent réitérer leurs actes!
Encore plus de multis multis récidivistes!

À quand les quatre chevaux de labour,
comme au moyen âge?

La vie n'a pas de prix dit-on,
un assassin a le droit de la prendre,
sans rien craindre en retour
que son entretien
à vie?


Pourquoi y a t'il tant de fous
qui laissent tant de douleur?

Samedi 14 avril 2007 à 1:29

Vendredi 13 avril 2007 à 23:04


Il, l'a connu par hasard,
aprés un verre de jus de fruit prit dans un bar Lillois,
Il l'emmène en voiture, vers la Belgique, à Ypres,
pour passer une partie de la nuit en boite.
Il est jeune est l'argent ne coule pas à flot!
Elle est avide de sensations amoureuses.
Il aime son petit air fripon,
ses yeux un peu bridés,
qui laissent présagés des descendances asiatiques.
Plusieurs heures passent à boire et à danser.
Slows langoureux,  rapprochement,
bisous, baisers...
Il part dans l'ivresse de la tendresse sensuelle.
L'heure tourne, il faut penser à rentrer, la route est longue.

Dans la voiture, les cœurs battent la chamade.
Il l'enlace, Elle se cambre,
et ils partent dans des élans amoureux,
jusqu'à la soumission Elle se laisse aller,
les vitres, sont pleines de buée,
des mots, des gestes d'amours fusent ,
 leurs souffles s'accélèrent,
puis tout s'arrête,
dans un silence profond,
les deux corps enlacés se réchauffent.
Aprés quelques instants,
il faut se mettre en route.
Appuyée sur son épaule, blottie tout contre lui,
Elle regarde défiler la longue ligne droite,
puis ferme les yeux.
Il ne roule pas vite pour profiter d'Elle
le plus longtemps possible,
mais suffisamment,
pour ne pas contrôler à la sortie du virage
la glissade, putain de plaque de verglas!
Du bruit, un arbre.
Puis plus rien,
des lumières, des hommes en blanc,
un souvenir, Elle!
Où est-elle?
La vie,
L'amour,
La mort.



Il pense toujours à toi!
Ingrid.

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