un TITRE! ILS EN ONT PAS MARRE d'ETRE CONS ?

Par Carpe-diem-carpe-horam le Jeudi 21 décembre 2006 à 21:08

Je te suis !!!

Par jaime-les-fleurs le Jeudi 21 décembre 2006 à 22:25

Ah bin tiens, mon père a dit la même chose suite aux décès du fils du collègue à ma mère (trop long le truc). Si on tue ses filles il prend un flingue et va se venger (vive super papa).
C'est fou quand même, ça arrive dans les collèges, bientôt ce sera le primaire. Mais où sont les parents???

Par maud96 le Jeudi 21 décembre 2006 à 22:43

Je sais pas trop ce quoi çà parle là... Y a dû encore avoir un malheur quelque part...
Je lis mal les coms des autres sur ce fond bigarré... Obligée de "surligner" pour lire...

Par Tatoume le Vendredi 22 décembre 2006 à 9:11

Pff le monde d'aujourd'hui n'est plus un monde.
Ca m'attriste et me révolte à la fois

Par princesseoubliee le Vendredi 22 décembre 2006 à 10:45

c terrible ce qui c passez, l etat ne donne plus d argent pour qu il y ais des surveillant dans les colleges, et les parents se font dominer par leurs enfants, c vrais qu on li mal ton blog sur ces fond bizzare bonne continuation

Par So, from Meaux le Vendredi 22 décembre 2006 à 13:47

Mes amitiés à sa famille. Ceux qui sont à blâmer sont ceux qui ont frappé l'enfant à terre. Se battre, qui ne l'a pas fait? De là à provoquer un arrêt cardiaque, il y a un fossé! A 12 ans, on se rend compte de ses actes. Alors ne condamnons pas trop vite les parents. En revanche, qu'a fait le prof?
Copé sera content, il va pouvoir passer à la TV, il adore ça.
Sarko aussi, il va pouvoir montrer la nécessité de mettre des flics dans les écoles : ne les laissons pas utiliser la mort d'un enfant! Nos vies valent plus que leur profit...

Par reveur-utopiste le Vendredi 22 décembre 2006 à 15:55

Il ne faut pas tirer de conclusions hâtives, de grâce !

Le jeune garçon du collège de Meaux n'est pas mort sous les coups et les violences de ces camarades.
Il avait une hypertrophie du muscle cardiaque, donc était sensible à toutes sortes d'émotions violentes.
Ceux-ci dit je tiens à partager mes amitiés pour la famille.

Cet accident tragique amène à s'interroger sur les causes de cette intolérable violence scolaire et aux moyens à adopter pour y parvenir à l'éradiquer ...

Par So, from Meaux le Vendredi 22 décembre 2006 à 16:21

Tout à afit d'accord avec toi, pas de conclusions hâtives. Une chose seulement : on ne frappe jamais quelqu'un à terre.
Par ailleurs, ce n'est pas tant de la violence "scolaire" que de la violence "à l'école". Le différend ne vient pas de l'école, elle n'est pas nécessairement en cause. Pour bien connaître ces quartiers là, cette brouille a pu naître dans mille autres lieux! Quoi qu'il en soit, il est impératif de ne jamais accepter la violence, y compris dans les mots, plus encore à l'école.

Par Nathalie le Vendredi 22 décembre 2006 à 18:52

Quelle éducation les parents donnent-ils ?
Malheureusement de plus en plus d'enfants sont livrés à eux-même.
Certains parents disent : je préfère qu'il soit dans la rue comme cela il me fiche la paix.

Le pire, c'est que ces enfants ne sont pas très conscients de leurs actes...
La violence scolaire est de plus en plus jeune.

Reveur utopiste, oui il avait un problème de santé mais, ils l'ont quand même roué de coup et à terre ce qui est une cause directe à son stress ayant entrainé son décès.
Malade ou pas malade ils n'avaient pas à le frapper.
Il subissait lui aussi le stress scolaire et il n'en est pas décédé pour autant.

So, from Meaux... Tu sais à quoi se résume la surveillance dans la cour pour un enseignant ? Tu sais le nombre d'enfants qu'il y a dans une cour ?
Il ne faut pas tout mélanger nulle part Monsieur sarkosy n'a parlé de policiers à l'école.
L'éducation sur la violence, ce n'est pas à nous enseignants de l'inculquer aux enfants ! Les parents sont déjà suffisamment démissionnaires et se reposent déjà trop sur les enseignants, les animateurs etc.

Il serait bon de savoir que les enseignants ont eux aussi leurs propres enfants à élever, nous ne sommes pas Mère Thérésa non plus...

Tout comme toi papounet, on toucherait ne serait-ce qu'un cheveu de mes enfants je pourrais être violente.
Mais toutes nos paroles ne ramèneront jamais ce bout de chou à la vie et ça, c'est le plus terrible de tout.

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