Aprés cette période creuse,
on dirait que le stade se remplit de nouveau!
La barre des 700 connectés est atteinte, voir dépassée.
Alors qu'elle avoisinait péniblement les 5 / 600 ces dernières semaines.
J'en ai ma claque des fenêtres de PUB!
j'en ai rien à cirer de Geneviève
et de son tarot taré.
La tête levée à regarder le ciel
qui se couvre de gros nuages gris menaçants,
quelques gouttes tombent sur mon visage buriné par le soleil.
Ma niouniou, elle a toujours la truffe plantée dans l'herbe
fraichement tondue à renifler la moindre odeur
de ses congénères chiens afin de leur laisser
une trace de son passage.
Heureusement que l'on a perdu un peu de notre odorat
comme dit Bigard, on aurait pas besoin de carte d'identité!
Je vous décris pas la scène d'un contrôle!
J'ai envie d'envies, mais il faut que je patiente,
on a trop à faire dans l'immédiat,
et l'impatience est mère d'énervement.
Ça fait x années que j'attends,
je ne suis pas une paire de mois prés.
Elle veut me voir, et, je lui ai promis d'aller la voir à Marseille
je tiendrais ma promesse, elle est trop mimi Alice
et çà fait si longtemps que la bière va tomber.
J'ai lu des "je t'aime" un peu partout,
certains vers des parents, père ou mère reconnus,
d'autres, entre amoureux plus ou moins précoces.
Que c'est beau des "je t'aime" c'est si vite dit,
et si vite oublié bien souvent.
La vie est si longue, pleine d'embuches,
de tentations tentantes et tentatrices!
Les mots s'envolent avec un courant d'air,
et la peine est dans le cœur enfermée à vie.
Il faut être patient et constant dans ce sentiment.
Si on se donne à l'autre, l'autre se donne aussi.
Et l'autre c'est souvent un petit être avec un petit cœur
tout fragile qui se blottit dans nos bras et que la moindre
peur ou hésitation, font se transforme en sanglots,
et la peine de se perdre monte si vite
que le feu n'est rien à coté.
Mais avec les années, çà passe et ça casse souvent
par lassitude, monotonie, ou envie d'autre chose,
égoïsme primaire, envie de solitude, de renouveau,
que sais-je, si ce n'est que la vie est compliquée,
les années passent, les enfants grandissent,
le besoin de changement ce fait sentir.
Le bonheur est dans le pré,
avec souvent à la clé une histoire de fesses.
Pourquoi vouloir gouter ailleurs?
Le changement de pâture réjouit les veaux?
où va l'amour?