Dimanche 25 mai 2008 à 19:02


Bonne fête maman,
en espérant que tu sois bien la haut,
avec ma belle-mère,
et toutes ces mamans

parties trop vite,
pour ceux qui les aimaient.

En espérant
que l'on vous ait dit assez

"je t'aime".

On en a qu'une
et on l'aime
toujours.




Mardi 13 mai 2008 à 6:57


Salut tout le monde

"IL"
est
de retour!

merci de votre passage

A pluche...

Jeudi 1er mai 2008 à 8:03


On espère et souhaite
plein de bonheur.
Mais l'année suit son cour,
avec ses bonnes et mauvaises nouvelles.
Peut-on, même à son pire ennemi,
souhaiter du malheur?
Alors on s'en tient au bonheur
qui fera ou non des heureux.

En ce jour bénit
par les clochettes de l'amour,
je vous souhaite
tout le bonheur du monde
et vous envoie par le cœur
ce modeste bouquet




voilà voilà
bien à vous

Mardi 29 avril 2008 à 0:26


Quand il n'y a plus rien à faire,

il y a plus rien à dire
et
encore moins à écrire.



aller vieux,
au lit

Dimanche 27 avril 2008 à 11:00


Hier samedi,
je suis allé au véto faire retirer les fils
à la niouniou.
dans la salle d'attente
attendaient
un vieux les yeux rouges
pleins de souffrance,
et probablement sa fille
en larmes, dans un état second
de peine et de désespoir.
sur ses genoux gisait haletant
un  petit york
son "nono" adoré
qui partait sans se rendre compte
de la misère qu'il laissait derrière lui
l'euthanasie leur est tolérée
à eux, nos amis les bêtes.

À les voir dans cet état,
les larmes sont difficiles à retenir,
sachant ce qui nous attend
un de ces jours aussi.


à nos petites bêtes
pas si bêtes


Mardi 22 avril 2008 à 14:34


Mais un jour,
tu tombes,
et de
trés haut !

Ça fait mal...

Ça fait mal
De te voir pleurer
Pour cette fille-là
Ça fait mal
De te voir maltraité

Quand je dis
Elle n'est pas pour toi
A quoi bon, tu ne me crois pas
Ça fait mal
De voir pleurer un copain

Oublie-la, je t'en prie
Renonce à l'aimer
Car elle ment souvent
Tu le sais

Mais quand je dis
Elle n'est pas pour toi
A quoi bon, tu ne me crois pas
Ça fait mal
Quand je te vois pleurer comme ça

Toi, tu l'aimes tant
D'un amour si grand
Que pour elle
Oui, oui, c'est un jeu
Elle te ment toujours
Tu le sais pourtant
Tu le sais
Rien n'est vrai
Dans son amour

Ça fait mal
De te voir ainsi maltraité
Ami, laisse-moi te parler
J'ai beau crier, c'est insensé
Oui, j'ai beau le crier
Oh, toi, tu ne me crois pas
Pourtant un jour tu verras
Mon ami, que j'avais raison
Cette fois-là

(Johnny Hallyday)




Vendredi 18 avril 2008 à 19:16


Ce matin avec ce temps de Ch'ti
Ben oué ko! y pleuve ichi auchi!

J'avais l'impression,
n'était-ce qu'une impression?
d'avoir la tête dans le cul,
et de ressembler à Robocop
en quelques mots,
quand il pleut la nuit
pendant mon sommeil,
même si je ne dors pas dehors
mes articulations
se lamentent au réveil!
et mes esprits cherchent
perdu de recherche.

Je savais plus où aller,
ni où j'étais si! si!

mais la réalité m'a vite rattrapé
FALLAIT ALLER AU TAF !!


Et oui
c'est la triste réalité
^^   ;-)   XD

Vendredi 18 avril 2008 à 6:59

Le saura t-on jamais?



N'avoue jamais jamais jamais
Oh! non jamais!
que tu l'aimes
aiaiaiaimeuuu!

Mheuu?

Mais où j'ai mis mes pantoufles?



C'est le trou Noir  !

Samedi 12 avril 2008 à 23:54



HEIN !!!




BOIRE un petit coup c'est agréableuuu !!

à ta santé KAA

Lundi 31 mars 2008 à 23:46


Hier, j'ai regardé
"Zone Interdite"

Mme Sébire au visage si déformé,
qui souffrait de cette tumeur incurable

et demandait à pouvoir mourir,
de la voir s'exprimer avec tant de sang froid
et de conviction, devant ses filles,
les pauvres,
elles doivent avoir bien de la peine,
et le courage qu'elles ont eu
pour faire face à cette envie de leur mère
de devoir accepter sa mort
quelle espérait tant,
de la voir s'effondrer à genoux devant sa souffrance,
de ne plus se supporter,
et ne pas accepter de faire subir à ses proches
la charge de sa souffrance et de sa maladie,
comment peut-on refuser sa demande
de sa propre bouche pleine de sensibilté
de vérité
pas de magouille possible,
elle était bien lucide.

alors que l'on nourrit en prison pendant des années,
voir à vie, des criminels avérés
qui eux mériteraient la mort pour l'avoir donné,
on refuse la demande personnelle
et insistante de ces maladies incurables.

Je ne comprends pas notre justice,
sommes nous devenus trop intelligents
pour être contre nature?

Elle lui a fait un pied de nez.

Reposez en paix
Madame
que votre départ
face avancer
la délivrance.

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