Mardi 19 février 2008 à 2:02

Un gars va rendre les clés au concierge d'un petit hôtel miteux avant de quitter l'établissement définitivement.

"Avez-vous été satisfait de votre séjour?" lui demande le concierge.
"Eh bien non, justement" lui répond le client. "Je ne reviendrai plus chez vous!"
"Mais pourquoi?"
"À plusieurs reprises, lorsque j'ai du aller aux toilettes, je me suis rendu compte qu'il n'y avait plus de papier!"

"Mais enfin," s'insurge le concierge, "Vous avez une langue!"
"Euuhhhh..., " répond le client, "J'suis pas contorsionniste, hein!"

Dimanche 17 février 2008 à 23:43


Elle passe sont temps
à regarder en l'air,
elle a tout perdu ou presque.

La peine est entrée
et jamais ressortie.

La lueur de ses yeux c'est assombrit
et plus rien ne l'affecte.

Plus d'amour,
plus de désirs.

L'attente du lendemain
un jour aprés l'autre
assise sur son banc
elle l'attend
patiemment.

Pour aller les rejoindre la haut,
là où elle scrute
tous les jours
dans l'espoir de les apercevoir
 
Les paupières gonflées de larmes
qui ne coulent plus
tant la douleur est grande.

Elle vit au jour le jour,
elle attend
et ne pleure plus.

Et la vieille
n'est plus.

Samedi 16 février 2008 à 0:01


HYERES

le VAR

a gagné
la star AC

bravo Quentin

Vendredi 15 février 2008 à 21:58

Entre deux moments,
un moment trainait.
il le prit,
pour un moment,
en parler
de tous ces moments
qui par moment
nous prennent trop.
Moments d'angoisse,
moments de joie,
de bons ou mauvais moments
longs ou courts moments
Dans un moment
je partirais,
un court moment
peut être, ou,
un plus long moment
que prévu.
Moment indéfini ou infini.
Mais pas en ce moment,
occupé momentanément
par tous ces moments.
On en donne tellement
à d'autres, qu'on en a plus à soi.
Pourquoi ne pas tuer le moment
alors qu'on tue le temps

c'était
mon moment



Mercredi 13 février 2008 à 19:28


On était gamin gamine
et sur le bord de mer
la haut dans le nord
Berck plage,
Merlimont,
Stella plage,
quand le temps était mauvais,
comme souvent malheureusement
on se rué sur
le juke box vidéos
et on mater tous ses sketchs
on en perdait haleine
à rire de ses mimiques
toujours rieur,
on l'avait côtoyé avec Sim
un jour de fête estivale.

Simple et rieur comme à le scène.

SALUTATIONS
Monsieur Henry
Vos salves d'or resteront
à jamais dans nos cœurs.


encore
un grand
qui part

Mercredi 13 février 2008 à 18:57


Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets. Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans, qui tenait une jolie petite poupée contre lui...

Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui. Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna vers la dame près de lui: " Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience:
"tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " .

Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes.
Puis elle partit rapidement.

Le petit garçon tenait toujours la poupée
dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé
à qui il voulait donner la poupée.
" C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël
Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait
"Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter."
Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve
maintenant... "

"Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte"
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.
"Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi, alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur "
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.

Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit: " J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite. Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin "
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça,elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas, mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur"
Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouilla dans mon sac à mains, et j'en sorti une liasse de billets et je demanda au petit garçon: "Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? "
"OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez" .

Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.
Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura: "Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous".
Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de
s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."

Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier. Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel je l'avais commencé.

Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d' ivresse qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.
La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée.
La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur.
Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lu dans le journal que la jeune femme était morte. Je ne pu m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame.

Elle était là,
tenant une jolie rose blanche dans sa main, avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin. J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours. L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa sœur était tellement grand, tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé...



Maintenant, tu as deux choix :

1) mettre cet article dans ton blog

2) faire comme si tu l'avais pas lu et qu'il ne t'avait pas touché

Si tu le mets dans ton blog peut-être que tu empêcheras quelqu'un de conduire après  avoir consommé



merci
d'avoir lu
jusqu'au bout

Mardi 12 février 2008 à 21:26


La guéguerre
des Municipaux, pales
a débuté fin Octobre 2007
et je te colle du bleu
pour l'UMP
(le sortant)
Et les autres
de recoller du rouge
pour le PS
(les rentrants)

Mais y en qui font mumuse
depuis quelques jours,
on aperçoit des groupuscules
de désafficheurs!
ils passent derrière
"ceuce"
 qui ont consciencieusement collé
 leur couleur
et arrache tout
avec un soin désarmant.

Ou d'autres encore
(on peut suce pecter l'opposition,)
ont fabriqué des affichettes en complément
du slogan des bleus
au lieu de "une âme"
ils surcollent "un ane"
çà fait sourire tout çà !

Ben moi çà me fait chialer
depuis 4 mois qu'ils collent et recollent,
combien de tonnes de papier
pour leurs affiches de merde
il a fallut? "fallusss"?

Ils en ont pas marre ces connards
avec leur pots de colle
et leurs affiches!
Des "Chaumistes" ?

Et combien çà coute
sans aucun doute,
çà nous coute.


À nous
CON
tribuables



Mardi 12 février 2008 à 0:00


Sarkosi
avec sa Bruni
au lit
nous fait des p'tis
à ton envi
des p'tis
Sarkosi
ne suffi
un Sarkosi
pour nous Franci
trop de Sarkosi
Nuit !

y a tout mi?

Dimanche 10 février 2008 à 15:25


Quand j'étais petit,
donc pas grand,
mais un peu quand même!
disons hum!.. 14/15 ans^^
oui je vous vois déjà rugir
mais bon on est pas grand encore
hein?
bon revenons à nos moutons,

donc,

je galérais comme un ado pourri
ben oui quoi,
il savait pas quoi faire
pour casser les couilles
à son père
et emmerder sa mère.

Alors ce "grand con",( moi ),
faisait l'école buissonnière,
je partais le lundi
et rentrais le vendredi,
comme au pensionnat.
ben oui comme quoi
on l'a tous fait,
le con!

Je côtoyais un grand gars (adulte et maké)
qui vendait des motos,
vivait avec sa vieille mère.

On en a fait des conneries
que de souvenirs,
mais à cette époque,
c'était moins grave que maintenant,
mais bon,
çà excuse rien.
çà aurait pu tourné au drame aussi!
comme quoi on fait des choses irréfléchies des fois!

bon,
rerevenons
 Ã  nos moutons.

et la vieille disait:
fait du ben à tin kien y kiera su tes bottines.
(fais du bien à ton chien il chiera sur tes bottines)

Parce que tu peux faire plaisir,
souvent ou on en abuse,
ou on t'oublie comme une merde (vieille).

Pour dire que même si des fois on peut supposé
que certains font des choses en espérant
un quelconque retour,
je ne suis pas comme çà
ni même rancunier,
pourtant il y aurait de quoi des fois,
mais bon hein...
quand je donne
c'est toujours avec plaisir.

il est dommage de disparaitre
comme çà sans aucune raison valable
peur de quoi?
d'être con?
on est toujours le con de quelqu'un!
alors...

toujours là s'il le faut.

ben oui
encore...




Dimanche 10 février 2008 à 13:54



Le-VIOC
,

Toute l'équipe de Cowblog te remercie de la confiance que tu lui témoignes en ayant souscrit à l'offre Premium, dont tu bénéficieras jusqu'au 16/05/2008.

Bonne continuation sur Cowblog !




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