Vendredi 21 décembre 2007 à 21:55
Lorsque les Américains ont décidé de faire la guerre en Irak ils n'étaient pas seuls...
Saddam Hussein buvait tranquillement un apéritif dans sa véranda lorsque le téléphone sonna.
- Bonjour M. Hussein. Ici c'est Yann du FLB-ARB. Nous avons décidé de vous déclarer la guerre.
- Soyez raisonnable Yann répondit Saddam Hussein en riant. Vous les
Bretons vous n'avez aucune chance. J'ai un millier d'avions de chasse,
des dizaines de bombardiers. Je peux brûler la Bretagne au napalm si je
veux et quand je veux...
- OK attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient.
- Vous êtes toujours là M. Hussein. Bon nous maintenons notre
déclaration de guerre. Pour brûler la Bretagne avec le temps qu'l fait
en ce moment, vous n'y arriverez pas.
- Mais j'ai des tanks et des automitrailleuses par centaines. Et vous ?
- OK, attendez deux secondes, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient.
- En ce qui concerne les véhicules, j'ai une 205 et mes amis ont aussi
des voitures et même des motos. Finalement vos tanks ne nous font pas
peur. On maintient notre déclaration de guerre.
- Mais enfin réfléchissez, vous êtes combien de combattants ?
- Une bonne dizaine, rien qu'en comptant ceux de Dirinon de Pencran et
de Loperhet. Et en appelant ceux de Landerneau et ceux de Plougastel,
on peut se retrouver à cinquante vite fait.
- Moi, répond Saddam Hussein, j'ai plus de cinquante mille soldats bien entraînés, armés jusqu'aux dents.
- OK attendez deux secondes M. Hussein, j'en parle à mes camarades lui répond Yann.
Une minute après, il revient
- Vous êtes toujours là M. Hussein. Bon nous avons discuté et nous
avons pris une décision. Finalement nous ne vous déclarons pas la
guerre.
- Très bien... Et qu'est ce qui vous a fait changer d'avis demande alors Saddam Hussein.
- Eh bien, ce sont vos cinquante mille soldats... Tout compte fait,
nous n'avons pas les moyens d'entretenir autant de prisonniers.
Vendredi 21 décembre 2007 à 20:01
Tous les matins depuis 30 ans, Sarah se fait une
tartine de confiture au petit déjeuner, et tous les matins depuis 30
ans, la tartine tombe à terre côté confiture.
Un jour, un miracle, la
tartine tombe sur l'autre côté.
Bouleversée, elle se précipite chez le rabbin :
- Rabbi ! Est-ce Dieu qui me fait un signe ?
Ne sachant que penser, le rabbin demande un délai de 3 jours avant de lui répondre.
Il passe la première journée en prières afin que le Très Haut l'assiste
dans sa tâche, il s'isole du reste du monde le second en une intense
méditation et enfin, il fait appel le troisième jour à quelques-uns de
ses plus éminents collègues.
Sarah revient chercher sa réponse le matin du quatrième jour.
- Alors Rabbi ? Dieu m'a-t-il adressé un signe ?
- Non ma fille, répond le vieux rabbin désolé, ce matin-là tu as mis la confiture du mauvais côté.
Vendredi 21 décembre 2007 à 19:09
Un rabbin aperçoit un prêtre qui sort de l'église. Qu'avez-vous là , dans la caisse ?
- La quête, lui répond le prêtre.
Le rabbin : et comment faites-vous pour savoir votre part et celle de Dieu.
Le prêtre : 10 pour cent revient à Dieu.
Le rabbin : C'est bien compliqué; chez nous tout est simplifié. Nous lançons le contenu de la caisse en l'air.
Ce qui monte revient à Dieu et ce qui descend est à nous.
Un rabbin et un curé se trouvaient partager le
compartiment d'un train. Au bout d'un moment, le curé ferma son
bréviaire et fixa le rabbin.
- Dites-moi, votre religion vous interdit de manger du porc ... mais vous est-il arrivé d'en goûter ?
Le rabbin referma son journal et répondit :
- Je dois vous dire la vérité : oui, à de rares occasions ... Mais je
vous retourne la question, votre religion vous impose le célibat ...
- Je sais ce que vous allez me demander, est-ce que j'ai goûté au fruit
défendu ? Et bien comme je me dois aussi de dire la vérité : oui, une
fois ou deux j'ai goûté à ça.
Il reprirent tous deux leurs lectures, puis le rabbin baissa son journal, regarda le curé, et lui dit avec un clin d'oeil :
- C'est meilleur que le cochon, non ?
Mercredi 19 décembre 2007 à 18:00